INTERVIEW VIDEO | La Québécoise Ariane Moffatt a gagné le prix Rapsat-Lelièvre, une bourse pour le développement de la carrière d'un artiste en Belgique. Cela lui permet de faire une belle promo en Belgique et de jouer mardi soir dans le Village Francofou.
"C'est un défi pour moi parce qu'au Québec, on me connaît, ma situation est confortable. Ici, je dois tout recommencer de zéro. Mais c'est très stimulant." Et elle est prête pour toutes les folies.
Quelle est votre dernière folie?
J'ai l'impression que je fais que ça. C'est quoi une folie? Moi je suis stimulée par les trucs imprévus. Hier, j'étais à Bruxelles et je suis monté dans un manège à la foire. Un manège super extrême, une espèce d'astroneffe.
Qu'est-ce qui pourrait vous rendre complètement folle?
Le concert de demain... Tout ce qui est relié à l'adrénaline ou un concert important, la nouveauté, un public qui ne me connaît pas vraiment. C'est très stimulant. Ca me rend folle de joie autant que folle de stress.
Qu'est-ce qui vous rend folle de rage alors?
Parfois l'incomptétence, les trucs que je ne contrôle pas et qui se passent pas bien, ça me fait rager.
A quoi ressemble une de vos folles journées?
Une journée où je travaille beaucoup... comme la plupart de mes journées. J'aime cette folie de faire plein de choses rapidement, ça fait partie de mon quotidien. Mais tant que j'ai mon scooter, ça va. J'ai abandonné ma voiture pour un scooter ou le vélo, ça va plus vite.
Quelle genre de folie des grandeurs pourriez-vous vous autoriser ?
Ca serait un voyage pas du tout planifié. J'arriverais à l'aéroport et je déciderais où je partirais dans le monde. Pour le moment, l'Islande, ça me plairait bien. Ou alors un voyage en voilier. Prendre des cours de voile et partir à l'aventure en haute mer dans les îles.
Interview Actu24 : Audrey VERBIST - Jacques DUCHATEAU
Aucun commentaire:
Publier un commentaire